Aaron Jones

✦ Sang : Mêler
✦ Année/Poste : 6ème année
✦ Date de naissance : 2004-11-15
✦ Lieu de naissance : Londres
✦ Nationalité : Americaine/Anglaise
✦ Signes particuliers : Tattoo de serpent dans le haut du dos

✦ Patronus : Couguar
✦ Baguette : Bois de fraisier et crin de sombral
✦ Maison favorite/celle de vos études : Penchant pour Serpentard
✦ Matière favorite : Défense contre les forces du mal
✦ Matière détestée : Arithmancie

Je suis une personne à fort tempérament, je ne me laisse pas marcher sur les pieds et je sais riposter si on s'en prend à moi ou à l'un des miens. Je suis d'une loyauté sans failles envers ceux qui se retrouve dans mon cercle d'intimes, capable de tout pour ceux que je considère sous ma protection. Tempérament de feu je suis une personne très impatiente, je préfère l'action à la réflexion ce qui m'a causé déjà quelques ennuis. Malgré ma rapidité à agir je suis une personne intelligente et rusée, je possède une rapidité d'analyse qui me permet d'agir vite. Leader dans l'âme je déteste suivre sans rien dire, je questionne, j'objecte, j'éprouve une forte envie d'argumenter ce qui ne me plaît pas. Dans les cours cependant je reste plutôt discret, ne m'y intéressant pas forcément mais malgré cela je suis une personne ayant beaucoup d'ambition, j'ai un goût prononcé pour le pouvoir sans en faire mauvais usage. Je suis un meneur et je le sais, j'ai le don de rassembler les gens et qu'ils boivent mes paroles car je ne mens pratiquement jamais et ils le savent. Je ressens un détachement envers ce qui ne me concerne pas, je n'éprouve pas d'empathie envers les gens qui me sont indifférents je peux parfois même me montrer cruel.

Ma mère est une moldu venant de New York et mon père un sorcier de Londres parti en voyage pour parfaire ses connaissances du monde. Il n'était censé rester à New York que peu de temps, quelles connaissances pouvait-il acquérir aux États-Unis qu'il ne pouvait avoir en Angleterre. L'escale à New York était plus un plaisir personnel qu'une quête de savoir pour lui, cependant il fit la rencontre d'une jeune bibliothécaire moldu qui ne connaissait la magie que dans ses romans qu'elle aimait tendrement. Il la courtisa, la trouvant des plus magnifique, passant outre sa famille de sang pur et leurs croyances rétrogrades. Mon père réussit à charmer et à conquérir le cœur de ma mère et l'emmena en Angleterre, espérant peut-être que sa famille l'accepterait. Il fut renié, renvoyé hors de la demeure familiale, mais cela ne fut pas plus mal, il me raconte toujours comment la vie dans cette famille de pseudo-aristocrate imbu d'eux-mêmes était ennuyeuse, il aurait peut-être fallu qu’il y reste.

Mais mon père l'est aussi, un pseudo-aristocrate imbu de lui-même et quoiqu'il aimât ma mère profondément cela ne l'a pas empêché de la négliger plus d'une fois au début de leur relation au profit de ses ambitions. Je venu donc au monde, petite chose minuscule dans un monde beaucoup trop exigeant. Les premières années de ma vie furent joviales, aimantes. Mon père oublia ses idées de grandeur pour profiter de la vie de famille que ma mère lui offrait. Nous vivions modestement mais dans le bonheur, cependant il arriva quelque chose, je ne saurais dire quoi mais deux ans avant mon entrés à Poudlard mon père changea. Il devenu froid, hautain, exigent envers moi et ma mère qu'il traitait plus en servante qu'en amante. Nous nous retrouvâmes dans une nouvelle maison, par maison je veux dire manoir. Il se tramait quelque chose mais je n'arrivais pas à découvrir quoi. Un soir j'ai découvert mon père utiliser le sortilège Impero sur ma mère, j'étais fou de rage et sans y penser je me suis jeté sur lui. Un petit garçon de dix ans ne faisait pas le poids face à un adulte et s'est en me réveillant le lendemain matin avec une bosse douloureuse derrière la tête que je m'en rendis compte.

Mon père essaya tant bien que de mal à me mettre au pas, la discipline ne faisant pas l'effet escompter le sortilège d'endoloris s'en chargea. Depuis six ans que je cherche à comprendre ce qui a fait changer mon père de cette façon, ayant toujours en tête l'image du père aimant qu'il avait été autrefois. J'enquête dans l'ombre en restant le plus discret possible car même si la menace planante des douleurs que peut me causer mon père ne me fait pas peur, la menace de sévisse contre ma mère elle me maintient plus tranquille.