"L'épée qui venait d'un rocher" (Personnel de Poudlard et Enseignants)

- Ce RP a lieu avant la venue de Malicia Penrose à Poudlard -

L'épée qui venait d'un rocher

Que d'événements depuis cette rentrée scolaire! Cela faisait deux jours que les enseignants et les élèves venaient d'être sauvés à Pré-au-Lard. Madame Branford se devait d'expliquer la raison de cette bataille, l'identité de Quistis Heartilly et de ce qu'elle portait dans son dos.

Pour cette raison, elle organisa une réunion avec ses enseignants et les différents membres du personnel. Toutes ces personnes étaient dignes de confiance et Madame Branford avait besoin de l'aide de chacun d'entre eux. Tous étaient installés à la grande table de la salle des professeurs, au bout de celle-ci se trouvait la directrice. À côté d'elle, à sa gauche se trouvait Quistis qui avait posé devant elle, une arme en forme d'épée qui était toujours emballée d'un vieux tissus grisâtre.

Les membres de Poudlard étaient silencieux, prêts à écouter les dires de leur Directrice. Celle-ci se leva et prit la parole.

“ Avant de commencer, je tenais une nouvelle fois à vous remercier pour votre courage lors des événements à Pré-au-Lard. Les parents sont compréhensifs et préfèrent attendre les futures mesures prisent par le Ministère avant les prochaines sorties. Celui-ci va certainement envoyé quelqu'un pour vérifier le bon fonctionnement de l'école. La Ministre, Hermione Granger, s'est battue pour nous… Cependant l'opposition désire vérifier les défenses de l'école et notre organisation, y comprit vos cours. “

Madame Branford ne supportait pas cette idée, mais elle savait que Mme Granger, amoureuse de Poudlard, s'était battue corps et âme pour revendiquer nos droits.

“ Nous sommes toujours sans nouvelle de notre collègue, Lyssa. Les Aurors continuent les recherches. En attendant, je vous propose selon vos horaires de vous partager les différents cours de Sortilèges. “

Madame Branford s'éclaircit la gorge afin de présenter Quistis.

“ Certains d'entre vous doivent la connaître, je vous présente Quistis Heartilly. “ Ariel Branford la présenta d'un geste de la main. “ Quistis est une ancienne élève de Poudlard, de la maison Poufsouffle. Elle fait partie de l'Ordre des Soupirs, une organisation secrète dont je suis obligée de vous parler. J'ai confiance en chacun d'entre vous, mes amis.“

La directrice frotta ses mains, cherchant ses mots afin d'expliquer à ses enseignants l'origine de cet ordre dont elle faisait partie également.

“ L'Ordre des Soupirs est une organisation secrète. Les membres travaillent depuis leur création dans l'ombre, envoyant des membres dans tout le monde magique. Originellement, ils travaillaient pour contenir la menace des mangemorts et la protection des reliques magiques. Lors de la Bataille de Poudlard, plusieurs membres de l'Ordre des Soupirs se sont levés face à Vous-Sav… Voldemort et ses sbires. Ce sont des défenseurs du bien.“

En effet, plusieurs grands chercheurs étaient membres de cet ordre, comme Nicolas Flamel qui comptait sur cette organisation pour protéger sa fabuleuse pierre.

“ Je laisse la parole à Quistis qui va vous expliquer la suite. “ Dit-elle en reprenant sa chaise et invitant Quistis à prendre le relais.

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L'épée qui venait d'un rocher

J'étais installée à table, entourée d'Ariel et de ses enseignants. Certains d'entre eux étaient des têtes connues et j'étais gênée qu'ils se soient mit en danger à cause de moi, à cause de ce que je portais. Ariel me présenta légèrement et expliqua l'identité de notre Ordre.

J'avais intégré l'Ordre des Soupirs quelques années après mon diplôme. Mes talents dans la dissimulation, l'espionnage, le sabotage, l'infiltration et l'amour pour les reliques magiques faisaient de moi un membre important. L'épée que je tenais devait être rangée en lieu sûr et je ne connaissais aucun autre endroit en Angleterre que Poudlard pour protéger un objet aussi sacré.

Une fois ses paroles terminées, Ariel me proposa à prendre le relais. Je me leva, sûre de moi.

- Avant de commencer, je voulais m'excuser des dangers que vous avez dû subir par ma présence à Pré-au-Lard.

Sans attendre plus longtemps, ne voulant pas abuser de la curiosité et de la patience des enseignants, je commença à déballer l'épée, dévoilant la relique.

- Je vous présente Excalibur, l'épée magique légendaire du roi Arthur, roi des Bretons. Elle aurait un lien avec l'épée de Godric Gryffondor.

Je laissais quelques instants pour les réactions des enseignants, ils devaient certainement être étonnés, intéressés ou enchantés de découvrir cette fabuleuse relique connue dans le monde entier.

- Excalibur a la réputation d'être incassable et de trancher toute matière. Je suppose que vous connaissez tous son histoire, à travers les innombrables oeuvres la mettant en scène. J'avais comme mission de la protéger et l'amener en lieu sûr. En effet, des sorciers mal intentionnés me pourchassent depuis des mois. Comme la pierre philosophale autrefois, je pensais que vous pourriez utiliser vos talents pour protéger l'épée.

J'attendais ensuite, les idées des enseignants présents pour protéger l'épée.

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L’épée qui venait d’un rocher

Je prenais place à la grande table dans la salle des professeurs, j’étais nerveux et je fuyais le regard de mes collègues. Ariel nous avait donné rendez-vous pour faire une mise au point des derniers évènements. Je me sentais comme un imposteur de me tenir parmi mes collègues qui avait risqué leur vie pendant cette bataille alors que je me la coulais douce au château. Oui, j’avais fait partie du groupe qui était partis avec Mme. Branford pour secourir les élèves et les professeurs mais ce n’était pas la même chose. J’avais bien l’intention de me racheter. Je regardai Ariel assise au bout de la table, toujours aussi belle et élégante.

J’écoutai avec attention Ariel présenté Quistis. Je connaissais légèrement cette dernière car nous avions fréquenté Poudlard à la même époque. Malheureusement notre relation s’arrêtait là, nous n’étions pas de la même année et à cette époque les relations entre maisons étaient moins favorisé. Elle semblait gêné ou mal à l’aise pour une raison que je ne comprenais pas.

Je fus surpris d’apprendre l’existence de L’ordre des Soupirs, mais aucunement étonné de savoir qu’Ariel en faisait partie. Elle était puissante et utilisait chaque goutte de ce pouvoir pour faire le bien autour d’elle. Quistis se leva et nous présenta l’épée qu’elle avait dû garder et protéger. EXCALIBUR !!! Mon cœur d’historien fit trois tours et je cru que mes yeux allaient sortir de leur orbites. Depuis que j’étais enfant j’avais lu et écouter des histoires au sujet de cette épée légendaire. Jamais je ne m’aurais douter qu’elle existait vraiment. Je devais en apprendre plus sur elle.

Quistis demandait notre aide pour aider à protéger la relique. Mon cerveau ce mis en route à toutes vitesse pour trouver une idée qui pourrait l’aider dans cette mission. Je trouvai quelques choses mais c’était risqué. Je demandai tout de même la parole, peu sur de moi, mais à ce point je me dis que toutes les idées étaient bonnes à prendre.

- Pardonnez-moi, mais j'aurais peut-être une idée...

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Professeur de Métamorphose Messages : 106

Assis dans un coin, Gabrielle écoutait en silence les explications de Madame Brandford et de son invité, car en effet, ils avaient droit à des explications. L'attaque de Pré-Au-Lard avait été terrible. Son bras habilement guéris par l'infirmière allait beaucoup mieux mais elle avait encore des sensations de brûlure et des picotements dans le bout de ses doigts. Il avait même fallut qu'un guérisseur vienne de Ste-Mangouste pour aider au soin de son bras. Son bras en écharpe serait de nouveau bientôt fonctionnel.

Aux explications de la Directrice sur un ordre secret, l'ancienne auror fronça les sourcils. Ayant travaillé pour le ministère pendant quelques années, elle savait que travailler dans l'ombre de l'organisation avait de nombreux risques et des conséquences terribles. Elle était certaine que cette situation ne resterait pas sans suivis et que le Ministère finirait par envoyer quelqu'un. Et ce quelqu'un serait sans aucun doute dangereux et pénible.

Gabrielle détailla Quistis Heartilly du regard. Elles se connaissaient de vue, ayant participé toute les deux à une ou deux missions en tant qu'auror. Lorsqu'elle leur déposa l'épée devant les yeux, elle ne put retenir un froncement de sourcils réprobateurs.

-Le ministère est au courant? demanda-t-elle d'une voix forte.

Le professeur de métamorphose se doutait bien que le ministère avait été écarté d'une telle nouvelle. Ce n'était pas ainsi qu'un auror devait se comporter. Un ordre secret, une épée magique, cela sentait les ennuies à plein nez et les événements de Pré-au-Lard. Elle trouvait irresponsable de garder un objet aussi convoité dans une école. C'était un miracle qu'aucun élève n'aie été tué lors de l'attaque et la disparition du professeur de sortilège aurait pu être une conséquence bien pire. Qu'est-ce-qui empêcherait les mages noirs de venir la récupérer au sein même de l'école?

Nous étions tous réuni dans la salle des professeurs. Mme Brandford expliqua les raisons de cette bataille qui a eu lieu à Prés-au-lard et la présence de Miss Heartilly au sein du château.

Cette dernière nous montra une épée et nous expliqua qu'en réalité ce n'était pas n'importe quelle épée. Non, il s'agissait d'Excalibur. Je n'en revenais pas. Elle existe donc belle et bien!? Ce n'est pas une simple rumeur et légende.

Je vois que Jamie se lance pour proposer une idée. J'attends de voir ce qu'il en est pour me décider. Si ça ne tenait qu'à moi, l'épée ne devrait pas restée au sein du château. Pas comme la pierre philosophale. Je ne demande qu'à voir. Si maintenant, la majorité de l'équipe approuve pour que l'épée soit cachée dans ces mur, et bien soit. J'aiderai à la protéger mais je redoute les mois à venir si jamais ça venait à se savoir.

Garde-Chasse à Poudlard Surnom : Wally Messages : 46

L'épée qui venait d'un rocher

Ce matin-là, Mme Ariel m’avait sommé de la rejoindre à la salle des professeurs. Arrivé sur place, je constatai que tout le monde était déjà présent. Une invitée était assise à côté de la directrice : c’était la jeune femme qui avait croisé notre chemin à Pré-au-Lard. Je ne savais pas qui elle était ni ce qu’elle faisait ici, mais il semblait que nous avions tous été conviés à cette réunion dans ce but précis. Je pris donc place parmi mes collègues à la grande table et attendis la suite, qui ne tarda pas à venir.

La directrice fit un retour sur les événements de Pré-au-Lard, puis sur la disparition de Mme Lyssa. Pauvre Mme Lyssa! Qu’est-ce qui peut bien lui être arrivé? Ensuite, elle nous présenta l’inconnue, Mme Quistis, membre de l’Ordre des Soupirs. J’avais déjà entendu parler de l’Ordre, mais je croyais qu’il s’agissait d’une légende urbaine.

Après quoi ce fût au tour de notre invitée de prendre la parole. Elle nous expliqua la raison de sa présence à Poudlard : Excalibur! Une autre légende qui s’avère être vraie! Elle demanda notre aide pour protéger la précieuse épée. Je vis alors une lumière s’allumer dans le regard de M. Jamie. Ce n’est pas surprenant, il est un homme brillant. Puis, ce fut au tour de Mme Gabrielle de prendre la parole. Elle semblait embêtée, si bien qu’elle n’attendit pas que M. Jamie termine son idée. Tout le monde semblait tendu et cela me rendait nerveux...

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L’épée qui venait d’un rocher

Personnel de l’école

Je m’étais assis bien droit à la gauche de Jamie, écoutant attentivement les explications de notre estimée directrice et après elle de Quistis. J’admirais de loin la noble épée, écoutant distraitement les propos de mes collègues, pensant à cet ordre secret dont j’avais vaguement entendu le nom quelque part, mais j’avais beau chercher, je ne trouvais pas d’où j’avais bien pu avoir entendu ce nom : l’ordre des soupirs.

Je levai mon regard de l’épée pour atteindre celui de notre directrice et de Quistis, très intéressé autant par l’ordre des murmures que par cette mission de protéger l’épée, faisant abstraction des propos de ma collègue de métamorphose qui avait l’air plus que contrariée.

-Je veux bien en savoir plus sur cet ordre, comme vous le savez lord Voldemort a presque réussi à ravir la pierre philosophale lorsqu’elle fût cachée ici et je ne voudrais pas remettre la vie de nos élèves en danger.

Je faisais aller mes doigts sur la table à un rythme régulier, geste qui pour moi m’aidait à regrouper mes pensées disparates.

-Je veux à coup sûr vous aider dans cette tâche, ce sera pour moi un honneur, mais la sécurité des élèves est pour moi la priorité. Et je voulais savoir si ce n’étais pas trop indiscret… Notre chère ministre Granger fait-t-elle partie de cette organisation… Cela ne m’étonnerait pas et me rassurerai de la savoir au courant.

Je souris gentiment aux deux dames devant nous, conscient que cette question pouvait être de nature délicate à répondre.

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J'étais resté assis, les bras croisés, observant notre directrice et Quistis. Je n'étais pas spécialement à l'aise vis à vis de cette situation. Nous avions échappé de peu à la mort pour certains, entre autre Gabrielle, ainsi que des élèves avaient été mis en danger... J'étais perplexe. J'observa la réaction de Gabrielle qui semblait très contrariée, encore plus que moi.

Adam de son calme légendaire, ce que j'adorais chez lui, laissa sous entendre qu'il était d'accord avec le fait que c'était un danger de cacher cette épée dans l'enceinte de l'école. Je brisa ma posture de quasi statue pour intervenir à mon tour :

En tant que professeur de défense contre les forces du mal et directeur de la maison Serpentard, je trouve un peu risqué, voir même fortement, de cacher cette relique légendaire et recherchée par des partisans de lord Voldemort dans l'enceinte de l'école. Le ministère n'a cas prendre ses responsabilités pour une fois. Il s'agit d'enfants qui ont été attaqués. On ne peut plus se permettre une autre guerre ici à Poudlard. mon ton était cinglant et froid, je n'aimais vraiment pas cette idée, et pourtant je respectais vraiment les dames qui étaient devant moi.

Je refuse, s'ils sont venus nous attaquer à Pré-au-Lard, rien ne les empêchera de venir jusqu'ici. Ils ne sont pas prêts et nous non plus. rajoutais-je catégoriquement et légèrement énervé.

Lyssa est portée disparue, Gabrielle a été blessée par le sortilège Feudeymon afin de protéger des élèves. J'ai subi par deux fois le sortilège Endoloris et une étudiante de 1ère année a failli mourir si elle n'avait pas réussi un Protégo par imitation. Beaucoup trop de vies sont mises en jeu. Cachons-là ailleurs ! proclamais-je.

L'épée qui venait d'un rocher

J'étais installée à table, accompagnée des mes collègues et de la directrice que j'admirais tant. Après avoir écouté attentivement le discours d'Ariel et les paroles de Quistis. Mes pensées se lancèrent sur ce mystérieux Ordre des Soupirs, cela ne m'étonnait pas que le Professeur Branford en soit membre. En effet, elle était une sorcière puissante et célèbre dans le monde magique. Elle était ce que Albus Dumbledore était à l'Ordre du Phenix.

Jamie avait une idée, mais Gabrielle était tracassée ou du moins, elle le semblait. La sorcière questionna si le Ministère était au courant des événements, elle connaissait le Ministère en ayant été une Auror de talent. Adam souhaitait vivement mettre ses talents afin de protéger la relique légendaire. Minos, quant à lui, était ferme dans ses idées et trouvait que cacher Excalibur dans l'enceinte même du château était une idée suicidaire. Ses arguments étaient véridiques et j'appréciais beaucoup ses idées et la fermeté avec laquelle il les défendait.

J'étais toujours dans mes pensées, réfléchissant après une solution qui ne mettrait pas les élèves en danger. Les mages noirs étaient enfermés ainsi que les mercenaires, mais c'était ceux qui avaient réussis à s'enfuir qui me tracassais beaucoup. Le rythme des tapements de doigts d'Adam me relaxait et m'aida à réfléchir. Personne ne se doutait que Quistis irait se cacher à Poudlard après la Bataille de Pré-au-Lard, personne ne se douterait que l'on serait capable de mettre des élèves en danger pour protéger cette épée… Les mangemorts penseraient sûrement qu'elle et l'arme seraient protégées dans les bâtiments du Ministère. Mais prendrions-nous le risque malgré tout?

- Si je peux me permettre, la présence de Quistis à Poudlard n'est connue que par nous tous, à cette table. Le Ministère, lui-même, recherche Mademoiselle Heartilly. Si l'opposition déclare nous envoyer quelqu'un pour inspecter, les lieux… À nous de cacher la relique et Mlle Heartilly.

Cependant… Cela est risqué. Mais peut-on avoir une confiance aveugle vis-à-vis des membres du Ministère!? Si l'Ordre des Soupirs se tue à la tâche pour cacher l'épée au lieu de l'envoyer au Ministère, c'est bien pour une raison. Des gens mauvais se cachent dans l'ombre au sein du Ministère. Disais-je d'un ton délicat, mais ferme.

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L'épée qui venait d'un rocher

De manière gracieuse, je me leva de ma chaise afin d'observer l'épée de plus prêt. Peut-être que dans la foulée, une vision apparaitrait? Mais ce ne fut pas le cas… C'est à se demander si mes visions ne me tirent pas la tête en ce moment.
C'était une magnifique relique et elle respirait la magie et l'histoire, c'était fascinant.

De France, nous connaissions les histoires du Roi Arthur, du célèbre Merlin, la Dame du Lac et de la Fée Morgane. Des moldus, des sorciers et des créatures magiques extrêmement puissants.

Pendant que mes collègues échangeaient leurs idées, je continuais à admirer cette magnifique épée. À l'écoute de l'Ordre des Soupirs, cela me faisait penser à Madame Maxime, mon ancienne Directrice de Beauxbâtons.

- Madame Olympe Maxime de Beauxbâtons m'a déjà parlé de cet Ordre. Si les membres ne confient pas l'épée au Ministère, c'est qu'il y a une raison. Pour ma part, je me porte également volontaire pour protéger cette relique. disais-je à l'ensemble des personnes avec mon accent français toujours trop présent.

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L'épée qui venait d'un rocher

J'écoutais les différentes versions de mes enseignants. Ils avaient tous un avis réfléchi et respectable face à la situation.

D'un geste de la main, je laissa Jamie s'exprimer et développer son idée. J'étais persuadée qu'elle était mûrement réfléchie et sage, fidèle à Mr Summers. - Nous vous écoutons Jamie.

La présence de Gabrielle était une richesse à ne pas sous-estimer. Son passé d'Auror offrait une facette plus stricte et plus ordonnée lorsque l'on parlait du Ministère. De plus, elle avait été blessée lors de la Bataille à Pré-au-Lard, du coup, son avis était important face au sujet. - En effet, Gabrielle, je crains que nous recevions la visite d'une personnalité non-désirée dans les jours à venir. Toutefois, le ministère ignore la présence de Quistis et de l'épée dans l'enceinte de Poudlard. Mais ils désirent s'assurer que rien ne cloche à l'école.

Adam donna également ses avis sur la présence de l'épée. Curieux vis-à-vis de l'Ordre, je lui devais des réponses. - En effet, La Ministre Granger, amoureuse de la magie et des reliques, fait partie de l'Ordre.

J'étais rassurée que Adam se porte volontaire pour protéger l'épée. Se dire qu'il était prêt à risquer sa vie pour cacher l'épée, même en dehors de l'école, me réchauffa le cœur. D'un sourire sincère qui lui était adressé, je voulu le remercier pour ses mots et son courage.

- Je comprends tout à fait vos pensées, Minos. Toutefois, l'épée ne sera pas en sécurité au Ministère. Personne ne se doute que Quistis et Excalibur se cachent ici. Toutefois, si vous avez une autre solution… Je suis toute ouïe. disais-je en m'adressant à Minos. Sa meilleure amie, Olympe, déclara son opinion, mais semblait être très inquiète malgré tout.

Ilyana m'expliqua également ses idées et expliqua également son avis face au Ministère.

J'étais dans mes pensées, peut-être que cacher l'épée à Beauxbâtons était une bonne idée? Je préféra attendre les idées de Jamie et des autres enseignants.

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Je proposa cordialement, à madame Branford de cacher l'épée dans le caveau de la famille Gainsborough. De laisse l'épée là-bas sous ma protection, accompagné d'un système de protection via le sortilège de copie d'objet ainsi que des gargouilles qui m'avertiraient d'un quelconque mouvement.
De cette manière, l'épée ne serait pas dans le château et personne ne risquerait de tomber dessus, quoi qu'il arrive.

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Gabrielle laissa ses longs doigts fin pianoter sur l'imposante table de bois. Toute cette histoire ne lui disait rien de bon. À la révélation de la Directrice que le ministère allait sans doute envoyer quelqu'un les espionner, car oui espionner était le bon mot, la jeune femme ne put retenir un frisson de dégoût. Elle avait passer assez de temps au ministère pour savoir qu'il n'y avait jamais rien de bon lorsqu'il décidait de mettre son nez quelque part. Dolores Ombrage en était la preuve.

-Je crois qu'il faudrait songer à un sort à plusieurs niveaux. C'est ce qui avait fait la force de la protection de la pierre philosophale à son époque. Sans vouloir manquer de respect à personne, qu'est qui nous garantis que l'un d'entre-nous ne trahiras pas les autres? Où encore si nous tombons aux mains de l'ennemi qui décide de nous jeter un impero, la protection de l'objet ne nous serviras à rien. Si tous participe à sa protection sans révéler la solution à son sortilège, l'épée sera plus en sécurité que si nous confions sa protection à un seul d'entre nous.

L'épe qui venait d'un rocher

Mains croisés sur la table j’écoutai avec attention tous ce que mes collègues avaient à dire sur le sujet de cette épée et sur l’Ordre des Soupirs. Toutes les opinions étaient valables et je comprenaient très bien leurs inquiétudes. J’étais toujours si prompt à vouloir aider Ariel que je n’avais pas envisager le problème sous tous les angles. Une fois de plus, cette situation démontrait à quel point il est important de travailler en équipe. Je fus rassuré d’entendre que ni le ministère, ni le camp ennemies ne savaient que nous possédions l’épée ou que nous abritions Quistis. Madame Brandford m’invita à dévoiler mon idée, j’aimais quelle me fasse confiance et sache que je ne donnerais pas mon opinion à la légère. Alors que j’allais prendre la parole mon collègue Minos me devança suivi de Gabrielle. Je les écoutai attentivement, sachant qu’ils avaient souvent de bonnes idées. Une fois qu’ils eurent terminé je pris finalement la parole.

- Ce n’est pas une mauvaise idée mon cher Minos quoiqu’un peu incomplète. Selon moi l’endroit le plus sûr pour garder l’épée reste Poudlard, avec toute les protections qui l’entoure, l’école assure déjà une protection en soi. Je crois que l’idée de la diversion est à considérer par contre. Pourquoi ne pas faire croire que l’épée prends le chemin de ton caveau, de cette façon nous faisons diversion et en cas d’attaque nous en apprendrons plus sur nos ennemis. De plus si un espion rode véritablement parmi nous comme le suggère Mme Spencer, ils seront envoyé vers une fausse piste.

Je pris une petite pause, le reste de ma théorie était risqué et je ne savais pas de quelle façon elle serait accueillie par le reste du groupe. Je m’avançai sur le bout de ma chaise pour poursuivre.

- Pour ce qui est de la protection de l’épée dans nos murs je seconde l’idée de ma collègue de faire une protection à plusieurs niveau. Mais pour l’épée en tant que tel la protection doit être accrue…Lors d’un de mes voyages parmi les Maya j’ai participé à un rituel qui permettait d’envoyer l’âme d’un objet magique dans un autre plan astral de façon temporaire. L’âme de l’objet peux ensuite lui être rendu sous certaine condition. En enlevant l’âme d’Excalibur nous nous assurerions que même si elle nous est dérobé, les voleurs n’auront rien d’autre en main qu’une banale épée. Il nous faudrait seulement élaborer une stratégie pour connaître quel serait les conditions à remplir pour redonner son âme à l’épée. Je sais que c’est un rituel puissant et risqué mais je suis confiant qu’en mettant en commun les talents des personnes présentes autour de cette table nous pourrions y arriver. J’espère que vous me connaissez assez pour savoir à quel points la protection de cette épée m’ai cher, avec toute l’histoire et le pouvoir qu’elle recèle. Je ne proposerais pas une telle action à la légère.

J’avais terminé, je repris ma place confortablement sur ma chaise en attendant les réactions de mes collègues.

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L’épée qui venait d’un rocher

Personnel de l’école

Je me tortillai sur ma chaise et malgré cela j’écoutai avec attention tout mes collègues. Je souris en repensant à Touffu, le chien à trois têtes qui avait gardé la porte d’entrée lorsque la pierre philosophale fut dissimulée entre les murs de Poudlard.

-Puisque l’ont parle d’une protection à plusieurs niveaux j’ai la possibilité de nous procurer plusieurs créatures diverses pour protéger l’endroit.

J’énumérai quelques-unes des créatures auxquelles je pensai sur mes doigts :

-Il y a le sphinx, le Runespoor, l’Occamy, le Nundu, une orde de Musards, la Manticore, les Kelpis, le griffon, le grapcorne, bien sûr il y a le dragon, le doxy et pourquoi pas une chimère…

Je posai mes coudes sur la table et plaçai mes mains en accoudoir où j’allai placer mon menton.

-Bien sûr il faut choisir car toutes ces créatures ne cohabitent pas ensemble… On peut également jeter l’épée dans l’enclos de mon kelpi.

Je parlai que très rarement de ma valise, personne à part moi connaissait toutes les créatures qui s’y trouvaient et la grandeur que l’intérieur de ma valise possédait. Les créatures y vivant ne manquaient de rien et la plupart y étaient pour leurs biens, des créatures incapables d’être remise à l’état sauvage, sauvé de la mort que le ministère leurs réservaient. Plusieurs d’entre-elles étaient intenables alors je les gardais dans des habitats appropriés.

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L'épée qui venait d'un rocher

Après avoir écouté chaque idée émise par mes collègues, je n'avais plus d'autre choix que de trancher. L'Ordre des Soupirs n'allait pas nous laisser tomber et je ne comptais pas en faire autant. Il en était hors de question.

- Bien. En attendant l'aide de l'Ordre et de la Ministre de la Magie, Quistis ainsi que l'épée resteront à Poudlard. Au fil des siècles, Poudlard a la réputation d'être l'une des plus grandes forteresses du monde magique. Personne ne se doute que Quistis et Excalibur sont entre nos murs. Néanmoins, afin de protéger les élèves et le monde du personnel… Leur présence ne seront que passagères.

Je me levai, sûre de moi et de ma décision. En effet, j'allai certainement demander, aux professeurs qui s'étaient dévoués à la protection, leur aide afin de créer une défense coriace au cas où les choses tourneraient vers une fin désastreuse. Toutefois, j'étais persuadée que rien n'allait arriver… Hormis l'arrivée de la grande inquisitrice.

- Mes amis, je vous souhaite à tous une excellente soirée. Merci à tous pour votre présence.

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